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Quand le cerveau des africains s’arrêtent de fonctionner

Le cerveau des africains a subi des lavages successifs séculaires tellement sévères qu’ils semblent avoir perdu tout bon sens. L’africain ne sait plus qui il est ni ce qui est bon pour lui, et pourtant, la source de ses malheurs est devenue la boussole qui lui dicte le chemin à suivre. Ses bourreaux sont devenus ses conseillers et ses prédateurs ses modèles. Réalité d’un peuple tellement unique dans l’histoire de l’humanité que cela mérite de s’arrêter, et de visiter les différentes tares identifiées.

1ere tare : Se contenter de peu

Observez les africains et constatez ce qui les émeut et leur fait tout pardonner et oublier. Tels des gamins à qui on présente des bonbons et qui se calment après un tort subi, des broutilles suffisent à taire les pires colères des afrodescendants. Une naïveté sans nul pareil qui se révèle dès la moindre illusion de solution. Quelques soient les griefs récents ou historiques subis, faire passer du courroux au sourire un africain est un jeu d’enfant. Pour preuve, tous les autres peuples usent et abusent de ce trait de caractère commun aux africains. Et ce n’est pas verser dans l’essentialisme que de le dire, les faits sont têtus. Les africains ont une solide capacité à faire preuve d’amnésie collective. Maltraités, torturés, surexploités ou méprisés, les africains de façon émotionnelle dénoncent, crient au scandale, vocifèrent, cassent, mais en face, on rigole, car on sait qu’il s’agit d’émotions passagères. Et l’observation plusieurs fois séculaires parlent contre toute offuscation.

Observez les africains et constatez ce qui les émeut et leur fait tout pardonner et oublier. Tels des gamins à qui on présente des bonbons et qui se calment après un tort subi, des broutilles suffisent à taire les pires colères des afrodescendants. Une naïveté sans nul pareil qui se révèle dès la moindre illusion de solution. Quelques soient les griefs récents ou historiques subis, faire passer du courroux au sourire un africain est un jeu d’enfant. Pour preuve, tous les autres peuples usent et abusent de ce trait de caractère commun aux africains. Et ce n’est pas verser dans l’essentialisme que de le dire, les faits sont têtus. Les africains ont une solide capacité à faire preuve d’amnésie collective. Maltraités, torturés, surexploités ou méprisés, les africains de façon émotionnelle dénoncent, crient au scandale, vocifèrent, cassent, mais en face, on rigole, car on sait qu’il s’agit d’émotions passagères. Et l’observation plusieurs fois séculaires parlent contre toute offuscation.

Un noir est président aux Etats Unis en 2008, et les noirs de tout l’univers sont dans la joie, convaincus que l’heure de la fin de toutes leurs misères a sonné. Que nenni! Les deux mandats d’Obama traduiront les rêves en cauchemar, et les cris de déception se feront entendre aussi fort que les cris d’espoir, huit ans plus tôt. George Floyd est assassiné par un meurtrier déguisé en policier, et c’est toute la communauté noire du monde qui condamne, tempête, pleure et dénonce, en nous jurant que rien ne sera plus jamais comme avant. Des promesses données par les autorités ne seront jamais tenues, pire, le policier criminel sera relâché quelques mois plus tard sous caution. Indicible! Mais la communauté noire aura tôt fait d’oublier sa détermination qui s’inscrira dans la liste interminable de ses vœux pieux et vaquera tranquillement à ses occupations, après des milliers de cas similaires depuis des décennies, et en attendant les prochains meurtres pour reprendre le même cirque émotionnel. Plusieurs mois encore plus tard, un démocrate sera élu à la Maison Blanche, et à la faveur du contexte des revendications raciales, et par purs calculs politiques, les noirs toujours aveuglés par les symboles et la « bonne foi » apparente de leurs bourreaux, vont se réjouir de ce qu’enfin, une femme, noire, sera Vice-Présidente des États-Unis, oubliant qu’on a déjà eu un noir président sans attentes comblées, que le poste de vice-président des Etats Unis n’est qu’honorifique, et que Kamala Harris que les noirs veulent à tout prix récupérer n’est pas tout à fait noire, mais indienne et jamaïcaine. Mais peu importe, on prend tout ce qui peut nous rendormir en attente de la prochaine revendication raciale. Extraordinaire. En clair, le seul fait d’avoir des noirs à des postes privilégiés suffit à sauver la race. Pour clore ce volet noir américain, on a vu Van Jones, avocat et commentateur sur CNN, pleurer en direct sur le petit écran, tellement il était ému en tant que noir de voir Joe Biden et sa VicePrésidente élus. Satisfait au point de fondre en larmes. Naïf et émotionnel.

Satisfaction également facile, lorsque des noirs africains voient leurs semblables occuper des postes inespérés dans des structures de renom souvent réservées aux blancs. On est heureux de se faire enfin accepter. Les véritables combats pour la cause du peuple pourront attendre. Les symboles qui flattent nos égos d’abord. Postes à la NASA, dans des mairies en Occident ou dans des organisations internationales et autres, sont déclencheurs de satisfactions débordantes lorsque des afrodescendants s’y retrouvent. Mais est-ce bien logique ? En dehors d’une consécration personnelle qui fait logiquement le bonheur des concernés et de leurs familles, quel intérêt pour l’Afrique, le peuple noir et leurs causes les plus urgentes? Pourquoi nous contentons-nous aussi facilement du superficiel? Fatou Bensouda, sénégalaise et Procureur Générale à la CPI, est-elle au service de l’Afrique ou des intérêts occidentaux qui désignent subjectivement leurs proies toujours africaines? Elle occupe pourtant un poste de premier choix, enviable et considérée comme une fierté africaine, mais sert-elle une quelconque cause africaine? Sa présence à ce poste fait-elle avancer l’Afrique et si oui, en quoi exactement ? Les africains sont-ils à ce point naïfs et moralement corruptibles? Observez la joie des africains lorsque la France gagne une coupe du monde. La question n’est pas d’être heureux ou pas, chacun est libre de supporter l’équipe de son choix, mais quelles en sont les motivations? Que vous disent-ils ? « C’est un honneur pour l’Afrique » ! Quelle Afrique? L’histoire retiendra que la France a gagné une coupe du monde et non que l’Afrique grâce à ses enfants composant l’équipe de France à 90% a gagné quoi que ce soit. Réveillons-nous, bon sang! S’il est légitime d’être heureux pour ces joueurs et leurs familles, il est complètement naïf d’y voir un quelconque intérêt pour l’Afrique. On est encore en plein dans le complexe d’être admis à la table du maître. En somme, ce qui compte ce n’est pas l’origine ni la couleur de la peau des héros, mais ceux pour qui ils roulent. Un président noir aux Etats-Unis servira logiquement et exclusivement les intérêts de son pays et non ceux des noirs et encore moins des africains. Un haut fonctionnaire dans quelque organisation internationale ne tiendra pas compte de son origine africaine quand il faudra servir les intérêts de son employeur. Un sportif de haut niveau, fût-il africain d’origine, ne fera que défendre le drapeau de son pays d’adoption, et ses médailles ne seront en rien une fierté pour le pays de ses ancêtres. Sibeth Ndiaye ou Fatou Bensouda veilleront à satisfaire aux exigences de la France et de la CPI, même lorsqu’il s’agira de sacrifier les intérêts du Sénégal ou de l’Afrique. Arrêtons les amalgames soporifiques qui nous font nous contenter de peu et oublier les vrais enjeux de l’Afrique et des peuples noirs.

2e tare : Refuser de penser par soi-même

Les concepts Economiques, sociaux, culturels et tous les autres critères d’évaluation auxquels l’Afrique est soumise sont définis par d’autres, selon leurs réalités historiques, culturelles, sociales et sociétales. L’Afrique est sommée de s’y arrimer et de s’y conformer, mais pardon de vous dire qu’elle n’y parviendra jamais, et ce ne sera pas faute d’avoir essayé. Pourquoi ? Tout simplement parce que c’est une arnaque bien pensée par ceux qui orientent tout dans leurs seuls intérêts. Là encore, ce que les africains pensent détenir comme savoirs ne sont que des connaissances livresques ressorties tels des perroquets par nos experts en toutes sortes d’expertises, davantage flattés par leurs titres ronflants que par la possibilité de contribuer à un quelconque essor de l’Afrique. Les notions de développement, de PIB, de PNB, d’IDH, de sous-développement, de seuil de pauvreté et tous les concepts savants qu’on nous impose sont définies par d’autres sans aucune prise en
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compte de nos réalités historiques et culturelles. C’est ainsi que les nouvelles valeurs de la civilisation occidentale dominante doivent être de toute urgence intégrées et assimilées par les sociétés africaines sans que cela ne corresponde ni à nos propres valeurs et priorités, ni à nos timings. La notion de valeurs universelles est un leurre, elle-même servilement assimilée par les africains. Quand les occidentaux dénoncent des abus sur leurs sols (port du voile, terrorisme, polygamie etc.), ils ne tardent pas de marteler que cela ne correspond pas à leurs valeurs. Ce qui indique bien que les peuples, selon leurs évolutions historiques, leurs us et coutumes et leurs priorités sociétales, énoncent et généralisent des valeurs qui leurs sont propres, conformément à l’idéal commun qu’ils se fixent. Aux africains de faire valoir leurs propres valeurs et de les appliquer dans l’intérêt de leurs sociétés. Les africains ne pourront jamais rattraper l’Occident dans la course effrénée qui vise à lui ressembler en tous points. Non seulement les occidentaux ont définis les critères de valorisation conformément à leurs réalités et projets de sociétés, mais c’est encore eux qui fixent les règles et les changent au gré de leurs seuls intérêts. Les asiatiques eux, n’attendent pas de l’Occident ni de personne d’ailleurs qu’on leur dise de quoi ils souffrent et quels remèdes leurs administrer. Il est impératif que l’Afrique, si elle veut se restaurer, s’affranchisse du paternalisme asphyxiant de ses donneurs d’ordres et de leçons. Définir les règles du jeu, les changer à son aise et être juge et partie a nécessairement quelque chose de malsain que l’Afrique doit s’empresser de voir et de dénoncer.

3e tare: Toujours culpabiliser et dédouaner ses oppresseurs

L’auto-dénigrement est un sport en Afrique. Il est urgent de le remplacer par l’autodétermination. L’africain est durablement atteint du syndrome de Stockholm. Tellement asservi, il ne sait plus où aller même une fois affranchi, et choisit la fascination et la compassion à l’endroit de son bourreau. Voilà la triste réalité des peuples noirs et africains. Plusieurs africains ne comprennent pas que qu’on prêche et combatte pour leur liberté, car bon nombre d’entre eux considèrent que tout va bien en l’état actuel des choses, et même qu’il s’agit d’une manifestation de la volonté divine. Les africains, pensent-ils, sont bien à leur place, et s’ils revendiquent quoi que ce soit, ils sont les seuls responsables de leurs propres malheurs. Les bourreaux deviennent les victimes, et les victimes qui dénoncent, des complotistes. On nous objecte alors que les blancs actuels ne nous doivent rien et qu’ils ne vont pas expier les péchés de leurs ancêtres. Mais nous leurs rétorquons que nous continuons pourtant bien de subir les conséquences des atrocités et injustices qu’ont subies nos ancêtres tout comme les descendants de nos oppresseurs continuent de bénéficier des trésors de guerre de nos spoliations lointaines et permanentes. Il y a donc bien quelque chose à faire, c’est refuser la fatalité.

4e tare: Accepter la fatalité

Prier, jeûner, pleurer, dénoncer, ne suffisent plus. Agir est la seule option. Le cadre n’est pas approprié ici pour dire comment, mais il faut commencer par prendre conscience. Les africains doivent sortir d’urgence de l’engrenage asservissant composé par la peur, la distraction, le mensonge officiel, la manipulation et la persuasion. Voilà les 5 éléments d’aliénation à l’œuvre dans ce monde de prédateurs. Renoncer face à la puissance destructrice de la machine anti-libertés ne peut plus être une option. Faire le jeu des manipulateurs est criminel pour son propre peuple. L’urgence pour les africains, c’est de sortir des schémas imposés pour faire recours à l’esprit critique et analytique. Pour cela, le point de départ est le devoir mémoriel. Connaître l’histoire authentique de l’Afrique, donner à nos héros leur place dans nos espaces publics, dans nos livres et dans nos mémoires, s’approprier nos cultures pour sortir du joug oppressant de nos prédateurs et écrire enfin notre propre projet de développement, conformément à nos valeurs et priorités. Tels sont les gages d’une marche résolue et irréversible vers la liberté et le progrès de nos sociétés.

5e tare: Traiter les conséquences plutôt que les causes

Les africains doivent arrêter de se tromper de combat. Trop souvent, nous nous laissons distraire par des préoccupations non prioritaires qui ne sont que les conséquences d’une réalité plus subtile et pernicieuse. On voit les africains mener des combats contre la corruption, les détournements, le tribalisme, l’incivisme fiscal, le chômage etc. Mais tous ces combats aux apparences légitimes ne sont que des leurres. Ce sont des sources de distraction vers lesquelles nous orientent volontiers les véritables responsables de tous ces malheurs. Lorsque le problème d’un arbre se trouve à sa racine, élaguer les branches ne lui permettra jamais de produire de meilleurs fruits. Les problèmes fondamentaux des africains, tout comme leurs solutions se trouvent dans leur histoire et leur culture, ainsi que leur capacité de s’en référer pour définir eux-mêmes leurs projets de sociétés, conformément à leurs valeurs et non plus à celles suggérées par d’autres selon leurs seuls intérêts prévaricateurs. Y arriver ne relève ni du miracle ni de la chance, mais de la seule détermination. Et ça commence par celui et celle qui lit ces lignes. Tout le reste n’est que distraction.

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