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Le business de la peur

Depuis que les êtres humains ont conscience que leurs semblables constituent une source
inestimable de profit au service de leurs satisfactions égoïstes individuelles et collectives
dans la course effrénée aux performances mercantiles, l’obsession de lucre suggérant et
légitimant toutes les formes répugnantes d’impérialismes n’a jamais été aussi criarde et
prospère.

Manipulés au nom de l’humanité

« Homo homini lupus est », l’homme est un loup pour l’homme, observation rendue célèbre
par Thomas Hobbes au 17e siècle et qui résume bien une vieille réalité de notre monde. Des
conquêtes des terres à l’asservissement des Hommes en passant par les croisades religieuses
meurtrières, l’obsession humaine pour l’accumulation du capital a un passif sanglant de très
haute facture. Peu importe l’horreur qu’elle sème, l’assouvissement des désirs humains par
la déshumanisation sévit depuis le temps, tel un impératif catégorique.

Si le siècle dit des lumières a freiné les enchaînements des conquêtes guerrières en Europe,
il n’a manifestement jamais empêché la perpétuation de cet élan impérialiste qui se mutera
en capitalisme à outrance à l’aune de la révolution industrielle du 19e
siècle. Les méthodes changent, les intentions et les finalités demeurent. Il s’agit désormais de trouver l’alibi
infaillible à la légitimation de tous les abus, avec, de préférence, la bénédiction des victimes.
Avoir le beurre, l’argent du beurre, le sourire de la crémaillère et ses supplications à se faire
embarquer. En d’autres termes, emmener la victime du braquage à être complice de son
propre malheur. Caricature réaliste de ce que nous vivons de nos jours. Par le canal de la
peur qu’on nous impose et nous suggère, les gourous de la bien-pensance mondiale font
allègrement de chacun de nous des objets de spéculation destinés à réaliser tous leurs
fantasmes via des canaux bien éprouvés.

Le spectre de la guerre

Depuis la première guerre mondiale de 1914-1918, la guerre s’est révélée être un business
extrêmement lucratif. En effet, tuer rapporte gros. Triste et cynique, mais cruellement vrai.
Vous pleurez des millions de morts, eux comptent des milliards de dollars. Les Etats-Unis,
depuis la fin de la guerre froide, est le pays qui bénéficie le plus de la manne financière des
guerres dans le monde, du moins jusqu’en 2016, puisqu’à partir de cette année, de façon
exceptionnelle et historique, l’Amérique de Donald Trump n’a pas tiré le moindre coup de
feu, n’ayant engagé ni participé à aucun conflit dans le monde. Mais encore, sous la
présidence de Barack Obama, les Etats-Unis ont pu voir leur économie renflouée de
quelques 40 milliards de dollars, en signant plus de la moitié de tous les accords d’armement
dans le monde, suivis à cette période au classement par la France, avec ses 15 milliards de
dollars engrangés sous Sarkozy et ses implications dans des guerres qu’il a parfois initiées,
comme en Lybie, en Côte d’Ivoire ou en Syrie. L’essentiel des pays dits développés le sont
aujourd’hui grâce aux retombées de la folie meurtrière, ce qui ne les empêche pas par
ailleurs de revendiquer leurs statuts de pays de droits de l’Homme ou encore de terre des
libertés et de démocratie. Vous avez le droit d’en sourire. Mais peut-être vaut-il mieux
pleurer sur le sort des millions de victimes innocentes, sacrifiées sur l’autel de la prospérité
des économies de ceux qui dictent leurs lois et violent le respect de leurs valeurs officielles.
La guerre fait tourner des industries et pas que celles de l’armement. Si la vente des armes
est la partie la plus visible des retombées financières des boucheries humaines, il en existe
bien d’autres, souvent insoupçonnées. La guerre permet le développement d’entreprises
diverses. La recherche et développement pour concevoir des armes toujours plus
performantes, l’informatique pour la mise en place de logiciels, le textile pour la confection
des uniformes, la logistique pour l’approvisionnement en vivres et en équipements,
l’émergence d’actions humanitaires à la sincérité douteuse mais massivement financées, ou
encore le bâtiment pour les lourds travaux de reconstruction dont les multinationales des
pays ayant déclenché ces guerres seront les premières à se voir attribuer les marchés les
plus juteux. Toute cette reconstruction aux causes et effets savamment planifiés parce que
commandités seront financés par l’endettement que ces mêmes pompiers-pyromanes
auront très gentiment imposé au « pays ami » bénéficiant de la très généreuse « aide »
occidentale. Mais on sait également que ces dettes sont assorties de taux d’intérêts décidés
unilatéralement par les prêteurs, comme toutes les autres conditions complémentaires.
Dans le business de la guerre, c’est donc plusieurs pans de l’économie qui se mettent en
branle. Mais il y a également les sources indirectes, souvent aux retombées plus importantes
que les intrants visibles. Il s’agit souvent des raisons premières et inavouées de la guerre : les
richesses du sous-sol en RDC Congo, notamment avec le Coltan qui est indispensable dans la
fabrication des Smartphones et de certains composants des industries automobiles et
aéronautiques et qui, pourtant, fait des milliers de morts chaque année sans que personne
ne s’en préoccupe ; le pétrole de la Lybie, l’or du Mali et le prétexte de lutte contre des
djihadistes imaginaires, les instabilités organisées au Niger pour son uranium, la guerre en
Angola pour le monopole du pétrole, la guerre du NOSO au Cameroun pour ses ressources
du sous-sol à peine explorées, ou encore la guerre d’Irak sous les deux présidents Bush, au
fallacieux prétexte d’armes de destruction massive, quand on sait que le seul enjeu était le
pétrole irakien. On nous sert la peur pour susciter l’adhésion psychologique des masses
réputées fébriles, et déclencher ensuite des guerres meurtrières et lucratives pour servir des
intérêts obscurs. Les Saigneurs de la terre par la guerre resteront encore longtemps les
Seigneurs de ce bas-monde par la peur, tant que leurs techniques élaborées de manipulation
continueront de se déployer sous les yeux hypnotisés et les esprits endormis de leurs
victimes. En attendant, les victimes peuvent toujours s’en remettre à Dieu.

La religion et le salut des âmes

De tous temps, les détresses des humains leur ont fait trouver refuge dans des substances
narcotiques, qu’elles soient naturelles, chimiques ou spirituelles. Karl Marx disait que la
religion était l’opium du peuple. L’opium est un puissant sédatif qui déconnecte son
consommateur de sa réalité et donc le rend indifférent à toutes formes d’adversité, du
moins, le temps de son effet. La religion aurait des effets similaires, probablement pires,
quand on sait qu’elle s’impose à ses adeptes, souvent dès la naissance, privant ainsi le
nouveau-né de toute liberté de choix. La religion aurait alors une dimension dictatoriale qui
se transmet de génération en génération sans le consentement des adhérents. Quand elle
n’a pas été imposée à la naissance, elle l’a été par des guerres, des croisades ou des
inquisitions sanglantes. Aux origines de ce qui tient lieu de civilisation occidentale,
actuellement dominante, on peut dire avec Michel Onfray que « la religion est une secte qui
a réussi » à prospérer, y compris par la violence, tout comme « une civilisation est une
barbarie qui a réussi » à s’imposer. Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire et imposent
leurs structures de pensée comme étant universelles.

L’impression du libre choix d’une religion par ses adhérents est donc un leurre, dans
l’écrasante majorité des cas, puisqu’elle est inculquée depuis le bas âge, sans aucune
alternative, au risque de représailles. Quand la violence de l’adhésion n’est pas visible, elle
est subtile et souvent intériorisée, à un moment ou à un autre de nos vies. Les effets
soporifiques et psychédéliques de la religion, ses fidèles en redemandent. L’addiction est
très forte et finit même par être volontaire. Une dépendance assumée qui ne manque pas
de rappeler des victimes atteintes du syndrome de Stockholm. Telle une boucle infernale,
quelque que soit le mal-être qu’on pourrait en subir, la solution ultime se trouve encore en
elle. La peur de la mort, l’obsession du paradis, la peur de la sorcellerie, le besoin de
délivrance, l’aspiration à la richesse et tous les autres fantasmes assurent des lendemains
qui chantent aux marchands de la peur spirituellement conceptualisée. Pour en tirer fortune,
les métiers qui en découlent et leurs hordes de spécialistes se manifestent à profusion.
Prêtres exorcistes, pasteurs délivreurs, marabouts féticheurs, prophètes du bonheur,
prédicateurs de la prospérité, généraux célestes et que sais-je encore ? Et les adeptes épris
de ces fables se comptent par centaines de millions à travers le monde. La foultitude de
dénominations, d’orientations et d’interprétations des « livres sacrés » engendre une
cacophonie qui laisse songeur quant à une quelconque sincérité. Mais le plus frappant reste
la crédulité infantile des fidèles qui s’abandonnent volontiers à toutes sortes d’abus de la
part de ces gourous sans scrupules. De ridicules simulacres de miracles, des parodies de
délivrances de démons imaginaires, des arnaques à la pelle, des abus sexuels et parfois des
décès prématurés causés par ces demi-dieux fous appellent une vigilance des plus accrues,
aussi bien de la part des populations que de celle des autorités administratives.

Les obsessions financières des entrepreneurs de la foi sont largement comblées, la ruse du
business de la peur assurant un retour sur investissement rapide et certain. Tandis que
l’Occident qui nous a vendu ces croyances dogmatiques à la faveur de leurs courses aux
trésors en Afrique en guise de substance anesthésique pour mieux assouvir ses desseins
impérialistes, les africains, plus qu’aucun autre peuple, adhèrent massivement aux
différentes religions dites révélées avec un engouement sans équivalent. Nos églises et
mosquées sont très fréquentées et souvent pleines à craquer, et la prière et le jeûne
constituent l’option prioritaire quant à la résolution des problématiques personnelles,
nationales ou continentales. Tout ce qui ne tourne pas rond est systématiquement le fait de
la sorcellerie ou de quelque mauvais sort. Les réactions face à toutes sortes d’adversités sont
prévisibles de la part des africains : « Que Dieu nous aide », « Dieu rendra justice », « Le
Seigneur veille », « C’est la grâce de Dieu », « Le Seigneur est au contrôle » etc. Pendant ce
temps, leurs pasteurs qui leurs demandent de prier sans cesse et de garder la foi roulent
carrosse, voyagent en Jets privés et bâtissent des chalets. Ils ont bien des raisons de chanter
que Dieu est bon.
Les églises traditionnelles ne sont pas en reste. Loin s’en faut ! Observez dans la plupart des
pays du monde, et d’Afrique en particulier, le patrimoine immobilier de l’église catholique
d’abord et celui de l’église protestante ensuite. C’est tout simplement impressionnant. Au
nom de la foi, ils se sont vus, il y a parfois plus d’un siècle, offrir gracieusement et parfois
contre le franc symbolique, des hectares et des hectares de sites privilégiés et très convoités.
Evidemment, donner à l’église, c’est donner à Dieu, nous rétorque-ton. Les « hommes de
Dieu » modernes roulent en 4×4 et font concurrence aux hommes d’affaires dans diverses
initiatives d’investissements. L’église est devenue bien plus lucrative que tout autre secteur
d’affaires. La fébrilité des esprits garantit l’adhésion des masses aux homélies del’espérance
céleste. Tenez par exemple, et voyez si ça ne vous inspire pas quelques regrets quand à vos
choix professionnels. Le musée du Vatican possède 70.000 œuvres pour une valeur de 90
milliards d’euros. Pas moins. La vente des billets d’entrée représente un milliard d’euros par
an. Quant à la banque du Saint-Siège, c’est 3,3 milliards d’euros d’obligations, 1,2 milliard de
dépôt, 194 millions de fonds d’investissement et 100 millions d’actions. Elle réalise un
bénéfice annuel d’environ 90 millions d’euros et possède environ 2 tonnes d’or dans ses
coffres. Enfin, le Vatican dépense à peu près 834 millions d’euros pour son fonctionnement
annuel, pour un Etat qui s’étend sur 40 hectares. Fortune sécurisée et sans cesse croissante
tant que, comme depuis des siècles, les milliards de fidèles continueront de payer divers
services religieux pour épargner leurs âmes des flammes de l’enfer. Comme si nos
intelligences n’étaient pas suffisamment insultées, toute cette réalité n’a pas empêché le
Pape François de déclarer ceci : « Nous ne sommes pas condamnés à l’inégalité ni à la
paralysie face à l’injustice. Le monde riche et une économie prospère peuvent et doivent
mettre fin à la pauvreté ». No comment.

Les maladies et les miracles économiques des industries pharmaceutiques

Juste à côté des religions, le secteur de la santé, avec ses maladies réelles et imaginaires,
mais surtout ses solutions miracles, constitue le vecteur de la peur le plus rentable. Et les
prophètes de malheur s’en livrent à cœur-joie. Ne leurs parlez surtout pas d’éthique et de
morale. Business is business. Et puis, qu’est-ce que quelques millions de victimes sanitaires
face aux impératifs capitalistes de lucre ? Les industries pharmaceutiques, c’est 1.106
milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2019, en croissance de plus de 5% par rapport à
2018. Cette juteuse manne financière est partagée par une dizaine de colossales
multinationales, principalement occidentales. Le Big Pharma qui impose sa loi semble
davantage mû par des objectifs financiers que des préoccupations de santé mondiale.
Toujours en accord parfait avec l’Organisation Mondiale de la Santé, les gouvernements, les
organismes financiers et les médias mainstream, les contradictions et autres
questionnements dérangeants ne sont jamais les bienvenus. Pourtant, on dénombre
quantité de scandales en Afrique et ailleurs du fait d’inadéquations de médicaments et de
vaccins à l’origine de plusieurs vagues de décès, d’infirmités et de complications diverses.
Trop souvent, on meurt en Afrique à cause de l’inaccessibilité aux médicaments du fait de
leurs coûts élevés, tandis que l’OMS interdit des alternatives accessibles aux vertus curatives
avérées, préférant privilégier les ventes et donc les objectifs de chiffres d’affaires de ses
partenaires pharmaceutiques. C’est le cas par exemple de l’Artemesia, efficace contre le
paludisme qui reste l’une des 5 principales causes de mortalité en Afrique ou encore des
multiples solutions locales éprouvées contre le Corona virus. On l’aura compris, les
véritables préoccupations du Big Pharma sont pécuniaires. L’immixtion de prédateurs
financiers avérés dans les affaires de santé aux côté de l’OMS ne manque pas de susciter de
vraies interrogations face à cet opportunisme criminel contre les populations. Bill Gates et sa
fondation ne se sont jamais prononcés au sujet des accusations relatives aux morts et
infirmités qu’auraient causées leur vaccin contre la poliomyélite en Afrique, malgré de
multiples plaintes en cours. Les souffrances humaines ne sont en définitive qu’un lucratif
fonds de commerce pour ces obsédés du gain facile, rapide et massif. On se souvient du
scandale du Médiator dans les années 2000, de celuidu vaccin H1N1 en France en 2009 ou
encore de celui de l’anti inflammatoire Vioxx, maintenu en vente plusieurs années en dépit
de la demande formelle de son retrait du fait de ses dégâts mortels. Tous ces cas non
exhaustifs ont engendré des morts par milliers et des centaines de millions de dollars de
recettes. Tandis que l’Afrique reste le cobaye privilégié du Big Pharma, les spéculateurs
mondiaux jouent aux Traders en misant sur les vies des populations. Mais sans des canaux
serviles de diffusion, les sombres desseins de la peur ne seraient jamais accomplis.

Les incontournables médias

Pour diffuser la peur et l’entretenir, les médias sont d’un concours indispensable et
inestimable dans leur rentable mission de propagande. Mais pas n’importe lesquels, les gros,
encore appelés médias traditionnels, ou mainstream. C’est eux qui portent l’évangile, la
parole d’or, celle des puissants, celle de ceux qui pensent le monde à notre place. Et toute
information alternative ou dissonante est nécessairement conspirationniste et doit être
urgemment décrédibilisée sinon bannie. On veillera à ce que tout soit orienté dans le sens
de ce qui est décidé en hauts lieux. De lourds financements sont en jeu. Les médias
traditionnels sont des agents de la pensée unique que l’oligarchie en chef impose comme
universelle. Ils ont le devoir de façonner les consciences et de formater les cerveaux. Ils se
prononcent sur tout, et leurs lignes éditoriales suggèrent ce qui est bon ou mauvais pour
l’humanité. Ils savent mieux que nous ce qui est bon pour nous. En général, si vous avez suivi
le traitement d’une information sur l’un des médias mainstream, tous les autres délivreront
le même son de cloche. Les enjeux sont évidemment énormes. On justifiera alors une guerre
ou on la condamnera selon les intérêts à défendre, on plébiscitera un candidat et on
descendra en flammes son adversaire selon les consignes, on orientera les sondages selon
les prescriptions pour préparer psychologiquement l’opinion à admettre l’option arrêtée, on
martèlera une information pour mieux veiller à l’effet subliminal escompté etc. Les médias
aux contenus orientés sont des harceleurs permanents de cosciences. En amont comme en
aval, ils veillent au conditionnement de la pensée. La suggestion subconsciente par ces
médias est tellement subtile et pernicieuse que le téléspectateur, le lecteur ou l’auditeur fait
sienne la pensée qui lui est inoculée, au point de la défendre comme sa propriété.

On a vu des miracles lors de l’impressionnante unanimité médiatique anti-Trump pendant la
campagne présidentielle américaine de 2020, mais les cas similaires de conditionnement
mental des masses sont légions. On a observé, de fin 2019 à 2021 le traitement biaisé de
l’information du Covid19, avec des médias hyper motivés pour imposer la psychose, en
utilisant des méthodes macabres inédites d’affichage permanent du décompte des morts sur
les coins des écrans télé et des unes des journaux et programmes radio. Le chemin du
miraculeux vaccin a tellement été bien préparé médiatiquement que désormais, c’est un
boulevard à 10 voies et à sens unique qui s’est ouvert aux argentiers de la peur. A la seule
annonce de sa future disponibilité, déjà plus de 100 millions de doses avaient été
commandées à travers le monde, pour atteindre au moins 1,5 milliard d’unités au bout de
quelques mois. Les laboratoires et les industries pharmaceutiques ont ainsi réalisé des
records de ventes, tandis que leurs dirigeants ont fait des bonds vertigineux dans le tableau
des plus fortunés de la planète. Vive le capitalisme mortifère ! Une propagande laissant la
place à une autre, l’arrêt de la psychose du Covid sera tout aussi miraculeux et brutal que
son déclenchement. Les gouvernements occidentaux par le canal de leurs médias, avides de
manipulation comme des vampires sont avides de sang, venaient de trouver le nouveau
sujet vedette de propagande. Vladimir Poutine remplacera le Covid. Un nouveau spectre de
la peur qui, on ne le jure encore une fois représente le vrai danger contre l’humanité. Les
Etats-Unis, comme à leur habitude, ont embarqué le reste de l’occident dans ses fantasmes.
L’homme fort du Kremlin est devenu l’ennemi mondial numéro un, pour avoir osé engager
une opération militaire de sécurisation de son territoire, manifestement menacé dans son
intégrité de façon délibérément planifiée par le pays de l’oncle Sam dont le mépris
ostentatoire oblige à étendre les limites de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie par
l’Ukraine. Pas de répit pour les médias aux ordres qui peuvent se livrer à leur exercice favori
de pollution des esprits. En attendant le prochain sujet d’embrigadement.

En somme…

La peur fait vendre, et les gouvernants du monde qui le comprennent mieux que quiconque,
disposent de tous les leviers pour continuer d’en user et abuser, et en faire la matière
première de la prospérité des quelques oligarchies régnantes. Tant que les guerres, les
religions et les maladies seront brandies aux populations fébriles et crédules telles des
spectres de la fatalité, que des solutions toutes faites, conçues par l’ordre établi seront
promues par les lois et les médias , ce monde sous hypnose sera encore, et pour longtemps,
un Casino géant où les règles du jeu sont définies par les joueurs qui servent aussi d’arbitres.

 

Paul ELLA

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