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L’accès aux connaissances telles que Cheikh Anta Diop l’a prescrit aux africains constitue un enjeu énorme dans le travail d’éveil des consciences. Beaucoup trop d’africains, en dépit pour certains de leurs cursus académiques parfois éloquents, n’ont que des connaissances embryonnaires sur la vérité dans divers domaines des savoirs. Il s’avère donc impératif d’offrir aux africains des sources d’approvisionnement en savoir qui leurs permettront d’être solidement ancrés dans des connaissances inébranlables dans ce monde de propagande et de jeux d’influences. La bibliothèque panafricaine a vocation à avoir des bureaux dans toute l’Afrique et au-delà, mais la première étape de ce grand projet verra le jour à Douala, et pourra, au bout de quelques temps, intégrer la librairie.